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  • 1.2 Méthodologie de développement

A compléter

Schémas et fonctionnement en modules

Sommaire :


Ce que permet (ou permettra) esup-commons

... des applications web :

  • portlet
  • servlet
  • mixte (servlet et portlet)

Les notions de blank et example

Dans sa deuxième version, esup-commons adopte un méthodologie complètement différente de la première.
Auparavant, le développement d'un projet passait par le checkout SVN d'un projet "blank" qui devait dépendre du projet esup-commons, lui-même récupéré par un checkout SVN. Voir (03 Méthodologie de développement)

Désormais, un projet esup-commons se base sur Maven et la notion d'archetype.

Pour démarrer un nouveau projet, on partira sur la base d'un archétype blank qui, grâce au mécanisme de dépendance Maven, intégrera esup-commons sous forme de jar.

Mettre un ecran structure vide

La notion de projet d'exemple (example) existe toujours. Cette application a pour but de présenter une implémentation simple d'un projet esup-commons et quelques fonctionnalités incontournables d'une application. Cette dernière sera récupérée par un checkout SVN.

Attention : les projets esup-commons et esup-blank disponibles sur le SVN ne sont utilisés que par les contributeurs du projet esup-commons

Le fonctionnement en modules

Un projet esup-common se décompose en sous-projets à part entière appelés "modules" au sens Maven et dépendants les uns des autres .

Au packaging, chaque module sera proposé sous forme soit d'un fichier jar pour les couches basses, soit d'un fichier war pour la présentation.

  • WEB-JSF-SERVLET war
  • WEB-JSF-PORTLET war
  • WEB-JSF-MOBILE war
  • WEB-JSF-SHARED jar => Controllers
  • DOMAIN-SERVICES jar => Les services métiers (authenticator, accès au WS, exposition de WS)
  • DOMAIN-BEANS jar => Les objets métiers
  • DAO jar => Accès aux données
  • UTILS jar => Utilitaires transverses à toute l'application
  • Aucune étiquette